Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Émilie

20 mars 2009

Standard Procedure

Intitulé Standard Operating Procedure, le documentaire basé sur des photos rapportant les abus au sein de la prison d’Abu Graib et produit par Errol Morris cause tout un émoi. Diffusé pour la toute première fois en 2008, cette œuvre cinématographique représente la  huitième  et plus production de cet auteur prolifique.  En effet, Errol Morris a su toucher son public à travers les années par l’intermédiaire de nombreux films dont The Fog of War en 2003, Mr. Death: The Rise and Fall of  Fred A. Leuchter, Jr. en 1999, Fast, Cheap & Out of Control en 1997 et bien d’autres. Comme ce court-métrage trouve son fondement par la découverte de photographies prises par les militaires et des informations divulguées par les autorités américaines en 2004 celui-ci est très réaliste et des plus choquant.   

Standard Operating Procedure porte un regard critique des plus négatif sur les agissements des militaires américains envers les détenus, captifs souvent sans preuves valables et torturés de façon inhumaine pour des renseignements. Plusieurs points sont abordés lors de ce documentaire, tels les conséquences découlant des positions de stress et la légalité de ceux-ci.  Ont nous fait remarquer que bien que les images que nous voyons sont troublantes elles nous présentent des méthodes de torture bien répandues et légales aux yeux de la loi américaine.  De plus, aucuns grands représentants de ses soldats n’ont été arrêtés ou condamné pour leurs rôles dans cette affaire ce qui laisse entendre que de nombreux faits ont étés cachés ou détruits dans l’effort de protéger ses criminels. Nous sommes informés sur le sujet à travers le regard critique d'un journaliste et pouvons examiner chaque étape de sa recherche, celui-ci nous laissant conséquemment fonder nos propres conclusions, soit notre opinion face à cette situation des plus désastreuses.

Pour conclure, ce court-métrage nous informe de façon pertinente et réaliste sur la cruauté qui s’est déroulé à Abu Graib ainsi que sur les démarches légales qui ont étés utilisés. À la fin de cet extrait nous voulons en savoir plus et sommes choqués et bouleversés par les tactiques cachottières et troublantes des américains.

Publicité
Publicité
15 décembre 2008

O-Séparation de deux siamoises à Londres

Un hôpital de Londres à annoncé mercredi dernier qu’un bébé d'une semaine est décédé à Londres suite à une opération qui l'a séparé de sa sœur siamoise.

Hope et Faith Williams pesaient leurs poids mis ensembles 4,76 kg à la naissance. Leurs corps étaient liés à partir du sternum jusqu'au-dessus du nombril.  Par conséquent celles-ci partageaient le même système circulatoire ainsi que le même foie. L'équipe médicale a décidé de séparer les deux soeurs parce que leur état de santé se détériorait suite à des complications de leur condition. Habituellement, le taux de survie de siamois est entre 5% et 25%.Hope, la plus petite des jumelles, est décédée mardi soir car selon le rapport des médecins de l’hôpital, ses poumons étaient trop faibles. Le responsable de l’équipe chirurgicale, Agostino Pierro à indiqué que l'opération chirurgicale a bien fonctionné au niveau technique, bien qu'elle représente un défi extrême, et s'est déroulée comme prévu. 

Il a aussi précisé que Faith se trouvait dans un état «stable». Celle-ci a présentement besoin d'une assistance respiratoire mais devrait s'améliorer peu à peu.  Selon ce médecin Faith aurait 50% de chances de vivre bien qu'elle aurait besoin de plus d'opérations.

194 mots

-30-

15 décembre 2008

N-les effets secondaires de l’Avandia et de l’Actos

Selon une étude rendue publique mercredi passé, un type de médicament contre le diabète de type 2 semble doubler le risque de fractures chez les femmes qui l’utilisent.

Suite à cette découverte, les auteurs de la recherche invitent les médecins à réexaminer leurs médicaments connus sur les noms d’Avandia et d’Actos qu’ils ont mis sur le marché pour les gens atteints du diabète de type 2. Ceux-ci leurs recommandent fortement de tenir compte des effets à long terme de leurs médicament qui selon leur recherche serait à l’origine de l’augmentation des risques de factures ainsi que des insuffisances cardiaque chez les usagers. En plus de doubler le risque de fractures, ils ont constaté que l'utilisation de ces médicaments a été associée à des changements significatifs de la teneur minérale des os de la colonne vertébrale lombaire et de la hanche.

Selon le Dr Singh qui a rédigé cette étude avec l’aide de nombreux scientifiques, ce médicament comporterait un risque substantiel.  À son avis, il existerait un consensus entre les scientifiques à l’effet que les risques liés à l’utilisation de ses pilules seraient plus importants que les bienfaits apportés.

De nombreux organismes de réglementation canadiens et américains ont diffusé plusieurs messages publics pour mettre en garde au sujet de ce médicament.  De plus, l'association américaine du diabète a demandé aux patients d'éviter d'en prendre jusqu'à ce que la question soit réglée.  Comme les autres médicaments utilisés pour contrer les méfaits du diabète de type 2 n’ont majoritairement pas tout ses effets secondaires, les docteurs avisent maintenant leurs patients par leurs prescriptions à se tourner vers d’autres médicaments.

266 mots

-30-

9 décembre 2008

M-Le taux de participation est à la baisse

Une onde de choc traverse la province suite à la l’élection d’hier. Les craintes des partis d’opposition soulevées par les sondages se sont matérialisées. La province du Québec a  enregistré suite à cette élection le pire taux de participation de toute son histoire.

Le mince pourcentage de participation soit de 56% des électeurs qui ont utilisé leur droit de vote hier soir et lors des journées du vote par anticipation déçoit énormément le directeur général des élections du Québec. «On n'a jamais vu ça, s'est désolé Marcel Blanchet, le directeur général des élections du Québec. C'est vraiment déconcertant de voir un taux aussi bas malgré tous les efforts qu'on a faits.» Ce taux de participation représente une chute des plus catastrophiques dans l’histoire du Québec puisque la plus faible participation noté jusqu'à là était de 70.4% en 2003.

Marcel Blanchet pense pour sa part que le climat négatif perpétué par les médias tout au long de la campagne est à blâmer pour se faible taux de participation. Selon François-Pierre Gingras, professeur à l'École d'études politiques de l'Université d'Ottawa, cette baisse serait due au désintérêt de la population montante soit les jeunes électeurs. Celui-ci a ajouté: «Au départ, les Québécois étaient défavorables au déclenchement des élections, rappelle François-Pierre Gingras. En plus, les débats et la personnalité des chefs n'ont pas su stimuler les gens.»

223 mots

-30-

7 décembre 2008

I-J-K-L Alex Kovalev multiplie les déceptions

Malgré le début en force de Kovalev lors des premiers matchs de la saison, celui-ci se voit aujourd’hui ralentir la cadence et faire des erreurs impardonnables qui ont des conséquences dévastatrices pour le Canadien.

Bien qu’un des joueurs étoiles du Tricolore, Alex Kovalev n’ait pas marqué depuis maintenant seize matchs, celui-ci a empiré la situation lors du match d’ hier.  Kovalev a écopé d'une pénalité lors de la troisième période mettant le Tricolore dans une situation bien délicate.  Celui-ci  a fait trébucher un joueur de l’équipe adversaire sans but apparent en zone ennemie. Cette pénalité a coûtée très cher au Canadien en plus de ruiner le travail acharné du gardien de but Carey Price lors cette rencontre. Grâce à cette punition, les Devils ont pu obtenir une victoire de 2-1 face au Tricolore en prolongation.   

S’avançant vers le filet les Devils ont pu profiter de leur avantage numérique de 4-3 joueurs pour multiplier leurs belles passes aux alentours de Carey Price. C’est Zach Praise qui a marqué le but décisif en tirant la rondelle dans le but désert grâce à un échange d’un de ses coéquipiers Patrik Elias. Bien que sa présence soit des plus remarquables ayant fait vingt-neuf arrêts et récoltant la première étoile du match, Carey Price n’a su cacher sa amertume face à la victoire des Devils.«C'est sûr que je suis frustré. Je déteste perdre. Et je ne crois pas que quiconque puisse être content d'avoir perdu de la façon dont on vient de le faire», a répliqué Price.  Celui-ci s’est cependant retenu d’accuser publiquement le fautif, Alex Kovalev.

Faisant attention de ne pas pointer directement le doigt vers un joueur en particulier, Guy Carbonneau a tout simplement évoqué que le geste porté par Kovalev avait été très coûteux et que celui-ci était bien mal placé. «Les seules bonnes punitions sont celles qui sauvent un but. Toutes les autres, surtout à ce moment du match...», a apporté l'entraîneur chef sans toutefois terminer sa phrase.  Celui-ci a continuer en disant : «Les arbitres venaient d'en donner une à nos adversaires. Tu savais qu'ils allaient vouloir équilibrer.»

À l’exception de cette désastreuse punition, la seconde partie de la rencontre fut majoritairement mal jouée par le Tricolore. Bien qu’ils dominaient pour ce qui est des tirs à la moitié du match, le bleu-blanc-rouge n’en a obtenu que six lors deuxième partie face à vingt-et-un pour l’équipe adverse.

Malgré le manque d’effort de la part de l’équipe d’origine Montréalaise, les gardiens de buts Carey Price et Scott Clemmensen se sont tout de même livrés une partie très intéressante. Ceux-ci ont tout les deux laissés passer la rondelle dans leur but à une reprise mais ont quand même livré une performance très remarquable ne laissant pas la chance à la rondelle de s’échapper.

Le Tricolore a pris les devants en marquant le premier but à l’aide de Matt D'Agostini qui a su s’emparer d’une rondelle libre que le gardien des Devils avait laisser tomber de son gant sur un arrêt plutôt ordinaire.  Celui-ci représentait le troisième but de Scott Clemmensen en quatre matchs depuis son retour au sein de l’équipe en tant que gardien.

Suite à se but, les Devils ont repris le contrôle en égalisant le rapport des buts grâce à  un tir sur longue portée du joueur Jamie Langenbrunner. Essayant de faire l’arrêt, Price s’est emparé de la rondelle que partiellement laissant à la rondelle la chance de se loger tranquillement derrière la ligne rouge et donc dans son filet.«Je croyais avoir serré les jambes suffisamment», a laissé entendre Carey Price, qui s'est repris en resserrant sa prise lors des tirs d'Elias.

Heureux par la tournure du match qui représente sa première victoire en carrière face au Tricolore, le gardien des Devils, Clemmensen savourait ce moment de victoire bien attendu. Celui-ci à glissé quelques mots à ce sujet : «Si Martin n'était pas blessé, je n'aurais jamais profité d'une soirée aussi extraordinaire. Jouer ici, gagner ici, c'est formidable. Pour avoir du succès dans la LNH, un gardien doit avoir une très mauvaise mémoire. Nous avons tous deux accordé des mauvais buts. Mais nous avons su les oublier pour nous reprendre ensuite. Il (Price) a été sensationnel à plusieurs occasions et j'ai eu ma part de bons arrêts».

Suite à sa deuxième présence au sein des Devils dans la LNH, Clemmensen a enfin le mérite de se faire connaître. «Être l'adjoint de Martin est à la fois le meilleur et le pire job dans la LNH. Tu gagnes souvent, mais tu joues très rarement. J'ai dû retourner dans les mineures et je profite d'une deuxième chance. La première fois, j'ai mis le pied dans la porte. Cette fois-ci, c'est le corps en entier que je compte faire passer.»

Se disant heureux et un meilleur joueur site à sa sixième victoire en sept matchs, celui-ci se croit sur le bon chemin pour réaliser ses buts.

818 mots

-30-

Publicité
Publicité
23 novembre 2008

G-H Le retrait du numéro 33

Hier soir, samedi 22 novembre 2008 était célébré le retrait du chandail numéro 33 ayant appartenu à Patrick Roy durant ses années au sein du tricolore. Au tout début de cette cérémonie, le fêté, Patrick Roy à fait son apparence par l'entrée principale du Centre Bell, soit au milieu des milliers fans ardents de lui tenir la main et d’apercevoir cette légende du hockey canadien. Celui-ci a descendu les marches une par une content de la réaction des plus chaleureuse de ses anciens partisans. Une fois arrivé en bas, Roy a interrompu sa marche pour s’arrêter devant le fameux ban du CH, place ou sa carrière a pris fin le 2 décembre 1995.Prenent une pose, celui-ci à annoncé avec satisfaction :«Ce soir, je rentre chez nous». 

Les gradins du centre Bell étaient remplis de gens tous un peu plus émus que les autres, mais surtout heureux d’avoir eu la chance de participer à cet évènement historique de grande envergure. La foule présente ce soir-là  ne cessait d’applaudir cette vedette du hockey allant jusqu'à lui réserver une ovation durant plus de cinq minutes lorsqu’il a mit le pied sur le fameux tapis rouge. Patrick Roy à même lancé a ce sujet lors de la clôture de la cérémonie: «L'accueil du public a été au-delà de ce à quoi j'aurais pu m'attendre. Quand j'ai vu Richard Garneau être incapable de placer un mot, j'en ai eu la chair de poule.» 

Roy ne cessait de répéter maintes fois de la fierté qu’il avait toujours et allais maintenir d’avoir pu un jour s’être dit un joueur du Canadien de Montréal. Celui-ci à entre autres dit: «Je revis ce soir la même fébrilité qu'en 1984, quand le rêve a pris forme et quand vous m'avez accueilli et m'avez témoigné votre confiance. Merci d'être exigeants, de nous demander de jouer chaque match comme si c'était le dernier».  Durant cette cérémonie cet homme connu de tout partisan du Tricolore n’a pas essayé d’éviter le sujet  des évènements qui ont finalement aboutis à son départ en 1995. «Je me souviendrai de ce jour où je suis parti un peu trop vite, sans vous dire au revoir comme je l'aurais voulu. Mais je me souviendrai encore plus des moments où nous avons fait trembler le Forum et vibrer Montréal. Je me revois, en 1986 et en 1993, quand on s'est offert le plus beau des trophées, la Coupe Stanley.» a affirmé Patrick Roy.  Celui-ci ce contentant en ce disant:  « Au moins, les gens savent maintenant que je n'ai jamais voulu quitter l'équipe de cette façon, a-t-il dit. Ils savent que j'aurais adoré jouer pour le Canadien durant toute ma carrière.»

442 mots

-30-

23 novembre 2008

F-Twilight lancé, un deuxième à venir

Suite à la sortie de Twilight jeudi dernier, œuvre cinématographique basée sur la premiere tome d’une série de quatre par Stephanie Meyer, les dirigeants de Summit Entertainment ont annoncés de façon officielle qu’un deuxième film serait déjà en devenir. En effet ceux-ci ont décidés de débuter l’adaptation cinématographique de New Moon, second roman de cette collection des plus fantastiques dans sans délais. Conséquemment, les deux acteurs vedette du premier film: Robert Pattinson et Kristen Stewart seront présents pour le tournage de New Moon qui promet d’être un succès. La direction Summit Entertainment annoncée cette nouvelle au lendemain de la première, soit le jeudi le 20 novembre 2008 suite à cette soirée qui fut des plus rentable.  Les admirateurs ayant lu ou non le tout premier roman se sont rués dans les salles de représentations pour observer cette œuvre cinématographique présentant Robert Pattison dans la peau d’un vampire des plus docile.  Le total des recettes accumulées lors des deux premières journées, jeudi et vendredi dernier ont étés de 35,7 millions de dollars, ce qui représente 7 millions de dollars accumulés pour la première représentation de minuit à elle seule.  New moon promet d’être un film des plus rebondissant mais en attendant nous pouvons être sûres qu’a l’annonce de ce second film de nombreux fans iront se procurer ce deuxième tome de la série de Stephanie Meyer. 

225 mots

-30-

20 novembre 2008

E-Nouveau chef pour le Parti Vert

Guy Rainville, chef de ce Parti espère obtenir, par l’entremise de se changement, le double des appuis précédents acquis, passant ainsi en troisième position aux prochaines élections le 8 décembre 2008. Celui-ci admet cependant que cette tâche est des plus corsées, restant tout de même optimiste.

Le Parti vert a marqué le début de sa campagne électorale le 9 novembre dernier, dévoilant les noms et comtés de ses 45 candidats, soit 20 de moins que prévu pour les 125 circonscriptions constituant le Québec. À la surprise de bien des gens, cette liste ne compte présentement que 3 représentantes féminines.  En effet Louise Martineau, nouvelle candidate pour Brome-Missisquoi a affirmé : «Je suis la première surprise! Je ne comprends pas, les femmes sont pourtant très interpellées par les questions environnementales et bien engagées dans leur communauté».

Affirmant qu’il avait à cœur de renverser la tendance, le nouveau représentant des verts a avoué trouver plus pressant la recherche de candidats pour combler les nombreuses circonscriptions.  De plus, celui-ci estime que son équipe sera complétée d’ici le 17 novembre prochain conjointement avec le programme du parti.  Il a lancé à ce sujet : «il reste quelques détails à fignoler pour présenter des engagements solides à la population. Mais nous n'avons pas les moyens des autres grands partis».

214 mots

-30-

4 novembre 2008

C-D Monsanto, les faits sur la table

Intitulé «Le monde selon Monsanto», l’œuvre cinématographique produite par Marie-Monique Robin, journaliste d’investigation fait des vagues.  Diffusé le 11 mars 2008 dernier en première sur la chaîne ARTE, l’oeuvre fut présentée comme étant le fruit d’une enquête approfondie mettant de l’avant « un projet hégémonique menaçant la sécurité alimentaire du monde mais aussi l’équilibre écologique de la planète ».  Bien que l’information divulguée lors de cet extrait est très pertinente et des plus alarmante, la durée de celle-ci ne pourrait s’éterniser davantage.   

Ce court métrage portant un regard critique sur Monsanto, n’est pas la première réalisation de cette journaliste.  En effet, celle-ci a fait beaucoup d’émoi en 1995 avec la sortie d’un reportage des plus controversé : « Voleurs d’yeux », portant sur les trafics d’enfants ainsi que des prélèvements d’organes illégaux.  Bien d’autres productions ont vu le jour depuis Monsanto, diffusé sur CANAL+ en 2004, « Le sixième sens : science et paranormal  » fut un autre succès, dénonçant  les liens existants entre l’imposture et l’évaluation scientifique.    

«Le monde selon Monsanto», porte un regard critique des plus négatif sur cette multinationale mais plus spécifiquement sur l’utilisation des biotechnologies végétales dans l’agriculture par l’entremise de leurs produits ayant été prouvé fautifs.  Plusieurs points sont abordés lors de ce documentaire, tels les conséquences découlant de leur utilisation sur les plantes en question, l’environnement qui les entoure ainsi que les cultivateurs touchés tant par les répercutions sur leur santé que dans leurs portefeuilles.  Nous sommes informés sur le sujet à travers le regard critique d’une journaliste et pouvons examiner chaque étape de sa recherche, celle-ci nous laissant conséquemment fonder nos propres conclusions, soit notre opinion face à cette situation.

Cependant, bien que les conclusions soit pertinentes, tout au long de ce court métrage, les minutes ne cessent de s’accumuler mettant en scène la journaliste en question effectuant des recherches sur le moteur «Google».  Ceci à pour effet, selon mon avis, d’alourdir l’extrait en plus de faire perdre le fil de l’histoire, soi d’une durée approximative de près de 3 heures.  Le public touché par ce projet cinématographique serait avantagé par l’insertion de plus de renseignements se rapportant au sujet principal que par les démarches parcourues par l’auteur en question.  De plus, de nombreuses scènes pourraient, à mon avis, êtres coupées puisqu’elles ne sont pas indispensables au bon déroulement de la production.

Pour les raisons énoncées précédemment, je considère que le film crée par Marie-Monique Robin devrait plutôt être présenté au petit écran qu’au grand.  Les renseignements quoique captivants et attirant l’attention, ceux-ci sont étirés au point de rupture et ne feront certainement pas vibrer tout le grand public.    

436 mots

-30-

24 octobre 2008

B-Le triangle des Bermudes fait de nouvelles victimes

chats_animaux_fullscreenAnciennement vénérés par les égyptiens, plus de quarante-huit chats ont été portés disparus dans une ville centrale-ouest du Canada sur une période de huit ans.  La société protectrice des animaux d'Angleterre et du Pays de Galles  rédigent un rapport sur ce phénomène des plus étranges connu sous le nom de triangle des Bermudes pour chats. «Nous partageons l'inquiétude des propriétaires de chats dont les animaux ont disparu et en collaboration avec la police, nous enquêtons sur les incidents qui ont été signalés», a signalé la semaine passé un représentant de cette organisation ayant pour but la protection des animaux (RSPCA).

De plus, celui-ci à exprimé quelques mots : «Dans cette affaire, il y a eu des signalements de disparitions de chats sans aucune information sur la façon dont ils ont disparu, et aucun cadavre de chat pouvant servir d'indication, par conséquent il est difficile d'enquêter sans élément supplémentaire».  Les félins en question ont sans exception tous disparus d'un quartier faisant partie intégrante de Stourbridge, sans laisser de traces.

Membre du groupe des propriétaires de chats perdus, Julie Wootton à expliquée au Daily Mail : «C'est terrible, le quartier n'a plus de chats, les gens ont arrêté de les remplacer car ils ne peuvent faire face à la douleur.  Nous avons retrouvé quelques colliers, dont l'un précisait que le chat portait une puce électronique.  Si l'animal avait été trouvé par un éboueur, ou amené à un vétérinaire, sa puce électronique aurait été scannée, donc ils ne sont pas retrouvés».

248 mots

-30-

Publicité
Publicité
1 2 3 > >>
Publicité
Émilie
Publicité