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Émilie
23 novembre 2008

G-H Le retrait du numéro 33

Hier soir, samedi 22 novembre 2008 était célébré le retrait du chandail numéro 33 ayant appartenu à Patrick Roy durant ses années au sein du tricolore. Au tout début de cette cérémonie, le fêté, Patrick Roy à fait son apparence par l'entrée principale du Centre Bell, soit au milieu des milliers fans ardents de lui tenir la main et d’apercevoir cette légende du hockey canadien. Celui-ci a descendu les marches une par une content de la réaction des plus chaleureuse de ses anciens partisans. Une fois arrivé en bas, Roy a interrompu sa marche pour s’arrêter devant le fameux ban du CH, place ou sa carrière a pris fin le 2 décembre 1995.Prenent une pose, celui-ci à annoncé avec satisfaction :«Ce soir, je rentre chez nous». 

Les gradins du centre Bell étaient remplis de gens tous un peu plus émus que les autres, mais surtout heureux d’avoir eu la chance de participer à cet évènement historique de grande envergure. La foule présente ce soir-là  ne cessait d’applaudir cette vedette du hockey allant jusqu'à lui réserver une ovation durant plus de cinq minutes lorsqu’il a mit le pied sur le fameux tapis rouge. Patrick Roy à même lancé a ce sujet lors de la clôture de la cérémonie: «L'accueil du public a été au-delà de ce à quoi j'aurais pu m'attendre. Quand j'ai vu Richard Garneau être incapable de placer un mot, j'en ai eu la chair de poule.» 

Roy ne cessait de répéter maintes fois de la fierté qu’il avait toujours et allais maintenir d’avoir pu un jour s’être dit un joueur du Canadien de Montréal. Celui-ci à entre autres dit: «Je revis ce soir la même fébrilité qu'en 1984, quand le rêve a pris forme et quand vous m'avez accueilli et m'avez témoigné votre confiance. Merci d'être exigeants, de nous demander de jouer chaque match comme si c'était le dernier».  Durant cette cérémonie cet homme connu de tout partisan du Tricolore n’a pas essayé d’éviter le sujet  des évènements qui ont finalement aboutis à son départ en 1995. «Je me souviendrai de ce jour où je suis parti un peu trop vite, sans vous dire au revoir comme je l'aurais voulu. Mais je me souviendrai encore plus des moments où nous avons fait trembler le Forum et vibrer Montréal. Je me revois, en 1986 et en 1993, quand on s'est offert le plus beau des trophées, la Coupe Stanley.» a affirmé Patrick Roy.  Celui-ci ce contentant en ce disant:  « Au moins, les gens savent maintenant que je n'ai jamais voulu quitter l'équipe de cette façon, a-t-il dit. Ils savent que j'aurais adoré jouer pour le Canadien durant toute ma carrière.»

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Émilie
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